Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Demain est un autre jour...
15 décembre 2011

les 4 premières: week end du 11 et 12/12/11...

Il faut un début à tout! Ce week end là,sans trop que je sache pourquoi, ces 4 chansons se sont imposées à moi :-) S'en est suivi un beau cadeau d'une certaine Karine qui a pris le temps de me montrer que la première était chantable...je vous dévoile les autres...

Tableau_fleur400250

 Tisser des fils.

 

La vie nous fait parfois des clins d’œil, 

Pour les faire naître, il suffit qu’on le veuille, 

Chaque influence modifie notre route, 

Et peu à peu on fait face à nos doutes. 

 

Autour de nous, ces êtres et ces choses, 

Au fond de moi cette envie qui ose, 

Prendre le temps, aimer découvrir, 

Puiser sa force au creux d’un sourire.

  

Il n’y a que ça qui vaille la peine, 

Si on n’veut pas qu’nos vies soient vaines, 

Aussi fragiles et fins soient-ils,  

C’est entre nous, entre nous… tisser des fils. 

  

C’est trop dur d’avancer seule ici, 

Il faut chercher même dans la nuit, 

Reconnaître chaque petite étincelle, 

Et pouvoir enfin déployer ses ailes.

 

 Contre la haine dresser des remparts, 

Grandir ensemble, croiser nos regards, 

Toujours chercher comment avancer, 

N’avoir plus peur, d’enfin se trouver.

  

Il n’y a que ça qui vaille la peine, 

Si on n’veut pas qu’nos vies soient vaines, 

Aussi fragiles et fins soient-ils,  

C’est entre nous, entre nous… tisser des fils. 

  

Entre nous tous, des fils invisibles, 

Partent des cœurs pour toucher leurs cibles, 

Autour de nous s’enroulent et se tissent, 

Comme de doux liens qui nous unissent.

  

Toi tu es  là et toi tu m’inspires, 

Comme un aimant ton âme m’attire, 

Ne crois pas que je te laisse le choix, 

Je veux m’accrocher, ne te débats pas. 

 

 Il n’y a que ça qui vaille la peine, 

Si on n’veut pas qu’nos vies soient vaines, 

Aussi fragiles et fins soient-ils,  

C’est entre nous, entre nous… tisser des fils. 

  

Il n’y a que ça qui vaille la peine, 

Si on n’veut pas qu’nos vies soient vaines, 

Aussi fragiles et fins soient-ils,  

C’est entre nous, entre nous… tisser des fils.

   

 Amitiés Virtuelles.

 

 Montrer sa réussite, afficher qui l’on est, 

Vouloir tout dire et vite, de peur d’être oublié. 

Vouloir séduire toujours, même si c’est illusoire, 

S’offrir des preuves d’amour, mais rester seul le soir. 

  

Amitiés Virtuelles, on s’aime tous un peu, 

Amitiés Virtuelles, un beau jeu dangereux ! 

  

Tous seuls sur le même bateau, on a pourtant des choses à dire, 

Pour démêler le vrai du faux, s’émouvoir, pleurer et rire. 

Difficile de comprendre, ce qu’on se cache vraiment, 

Mais j’ai pourtant envie de croire, à un commencement…

 

 Amitiés Virtuelles, on s’aime tous un peu, 

Amitiés Virtuelles, on joue avec le feu ! 

  

On s’emballe, on s’adule, on s’isole, 

On s’remballe, on s’défile, on s’étiole.

  

On s’taquine, on se cherche, on s’affole. 

On s’débine, on s’entête, on s’cajole. 

  

On s’comprends, on s’oublie, on s’désole. 

On se lâche, on se trouve, on s’accole.

 

 Amitiés Virtuelles, on s’aime tous un peu, 

Et si c’était réel ? Au fond j’y crois un peu…

 

Renaître.

 

C’ n’était pas écrit dans les livres, 

Personne ne me l’avait raconté, 

Mais j’ai dû réapprendre à vivre, 

Quand l’amour m’a laissé tomber. 

  

J’ n’étais pas préparée au pire, 

Face au seul choix de me résigner, 

Lorsque  mes rêves ont préféré fuir, 

Pour avancer il fallait l’oublier.

  

Détruire l’espoir c’est parfois renaître, 

Même si l’on doit défier nos souffrances, 

On se contente au début de paraître, 

Et puis un jour, enfin on avance.

 

 Lorsque pour nous, le monde s’effondre, 

Que pour les autres, il continue d’avancer, 

Dans notre cœur, la tristesse inonde, 

Tant de peine à laisser couler.

 

 Se tenir là face au grand précipice, 

D’un avenir pour le moins incertain, 

Et ne trouver nulle part les prémices, 

D’un renouveau pour les lendemains.

    

 Détruire l’espoir c’est parfois renaître, 

Même si l’on doit défier nos souffrances, 

On se contente au début de paraître, 

Et puis un jour, enfin on avance. 

  

Essayer, mais se tromper de route, 

Brûler ses ailes, c’est quand même exister, 

Affronter seule ce que l’on redoute, 

Eprouver ses forces pour se relever.

 

Face à un manque, hurler sans un bruit, 

Lorsque le seul qui peut nous consoler, 

Nous a laissé égarée dans la nuit, 

Tant de morceaux qu’il faudra recoller. 

 

Détruire l’espoir c’est parfois renaître, 

Même si l’on doit défier nos souffrances, 

On se contente au début de paraître, 

Et puis un jour, enfin on avance. 

  

Le temps allié, un beau jour apaise, 

Tous les cœurs malgré eux esseulés, 

Peu à peu nos douleurs se taisent, 

Lorsqu’on ne lutte plus on est prêts…

  

Détruire l’espoir c’est parfois renaître, 

Même si l’on doit défier nos souffrances, 

On se contente au début de paraître, 

Et puis un jour, enfin on avance.

  

Coup de chance.

 

 Quand trois filles assoiffées, d’un peu de sensations fortes, 

Décident de s’en aller, voir où le destin les porte, 

Elles se retrouvent à rouler, sur un chemin puis un autre, 

Et finissent par arriver, dans une station un peu morte.

  

 L’Alpe d’Huez, au mois de juin, on a connu mieux c’est sûr. 

On va s’prendre, toutes les 3, au mieux un p’tit bol d’air pur, 

A errer comme ça sans but, on n’doit pas avoir fière allure, 

De  pauv’ filles toutes esseulées, juste un peu les caricatures. 

  

Y a des jours où notre ange gardien, n’était pas en RTT, 

Y a des jours où notre ange gardien, n’a pas fait son enfoiré.

   

Faire 10 fois le tour du village, croiser un chien dans son sillage, 

Tout fermé, rien à manger, c’est sûr on en mène pas large, 

On commence toutes à r’ssentir une déprime du fond des âges, 

On va finir par pleurer, émotionnellement c’est la surcharge.

 

Pas le moindre Alpedhuezien, on va finir par s’auto-tuer, 

Faudra songer à rentrer, se coucher et de se lamenter.

  

Y a des jours où notre ange gardien, n’était pas parti à la pêche, 

Y a des jours où notre ange gardien, nous a pas laissé dans la dèche.

 

Puis enfin dans le lointain, comme une lueur d’espoir, 

Oui là bas, on ne rêve pas, un troquet semble ouvert ce soir! 

Il nous reste plus qu’à boire, à s’attacher au comptoir. 

Finir bourrées, toutes avinées, voilà la fin de l’histoire…

  

Oui mais ça, c’est sans compter, sur le Saint des jeunes filles en fleurs, 

Ou sur leur ange gardien, leur pourvoyeur de bonheur…

  

Y a des jours où notre ange gardien, à daigné s’fouler un peu, 

Y a des jours où notre ange gardien, nous a sorti le grand jeu.

   

Dans ce bar tout désert, où traînais juste quelques clampins, 

Tout d’un coup est arrivé, un régiment d’chasseurs alpins ! 

Nos 3 cœurs embrumés, d’un coup se sont remis à battre, 

On va pouvoir un peu baver et qui sait plaire aux bellâtres.

  

Oh les filles ils s’mettent à boire, nos chances vont se décupler, 

25 mecs et 3 filles, même en tout bien tout honneur c’est l’ pied ! 

Sourire aux lèvres, j’bombe le torse, dans mes yeux j’mets d’la lumière, 

La nature m’a bien gâtée, j’en profite en j’en suis fière.

 

Y a des jours où notre ange gardien, ne s’est pas moqué d’nous, 

Y a des jours où notre ange gardien n’a pas fait son mou du g’nou.

  

Désormais autour de nous, une joyeuse bande s’affole, 

On a vraiment de la chance, oui pour nous c’est le pactole.

Tout avait mal commencé, mais je suis là, j’ai le beau rôle, 

 Je suis une princesse, une fée,  allez hop j’rebois une gnôle ! 

  

Puis enfin il m’a fait danser, il m’a dit toi t’es la plus belle,

Oui mais j’ai vite déchantée, quand il m’a parlé d’elle, 

Et puis il a énuméré toutes les qualités de celle, 

Qu’il allait bientôt épousé…pfff trop beau pour être réel.

 

Pas encore pour ce coup-ci mais c’était charmant quand même, 

Mais un beau jour c’est à moi qu’on dira des je t’aime, 

Mon ange gardien, oui tu es là je compte sur toi, 

 J’veux pas finir seule ma vie… ne me déçoit pas !!

  

Y a des jours où notre ange gardien,…on en profite pour boire un coup ! 

Y a des jours où notre ange gardien,…tous ensemble on fait les fous ! 

Y a des jours où notre ange gardien…on en profite pour prendre un verre ! 

Y a des jours où notre ange gardien, …on va finir par s’rouler par terre !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Demain est un autre jour...
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 6 506
Publicité